Nous verrons alors si certaines de ces  informations peuvent-être utile à l’encyclopédie libre Wikipédia. 

Je voulais rentrer en France et j’étais alors en formation pour obtenir un MBA en Angleterre. C’est dans le contexte de cette formation que j’ai eu l’idée folle de lancer en France une société de vente de vins étrangers. Le projet fut approfondi, préparé dans les moindres détails puisque que c’était mon mémoire de fin de diplôme. Parallèlement, je suivais la formation du Master of Wine, mais j’ai du faire un choix entre le MBA et la MW. J’ai fait le choix de la raison pas celui du cœur mais, je voulais mettre tous les  atouts de côté. Par la suite j’ai été happé par le développement particulièrement rapide de la société que j’avais créée et que j’ai dirigé jusqu’en 2010, ou je m’en suis séparée.

J’ai passé 25 ans à Londres, en Angleterre à partir de 1970. J’étais biologiste et amateur passionné de vin et de cuisine. Londres était – et reste aujourd’hui- la capitale mondiale du vin. On pouvait tout goûter et j’ai vu arriver tous les grands vins étrangers, d’abord, les Californiens, puis tout le Nouveau Monde. Je me suis formé   à l’œnologie,  au vin  parallèlement à mon travail de biologiste et obtenu le WSET du Wine and Spirit Education Trust (Diploma,  Level  4).

Au Chili, alors que j’assistais à la phase finale du concours du «  Meilleur Sommelier du Monde ». J’avais, modestement, participé à la formation du candidat français, David Biraud, qui termina deuxième.  Non seulement, on demandait aux candidats de s’exprimer dans la langue de Shakespeare mais toute leur préparation sur les vins étrangers devait se faire dans cette langue, car elle était alors inexistante ou rare à ce niveau dans la langue de Molière.  Je m’étais dit que si un jour,  j’avais un  peu de temps, je le consacrerais à mettre en ligne les informations disponibles sur les vins étrangers en langue française.