Au Chili, alors que j’assistais à la phase finale du concours du « Meilleur Sommelier du Monde ». J’avais, modestement, participé à la formation du candidat français, David Biraud, qui termina deuxième. Non seulement, on demandait aux candidats de s’exprimer dans la langue de Shakespeare mais toute leur préparation sur les vins étrangers devait se faire dans cette langue, car elle était alors inexistante ou rare à ce niveau dans la langue de Molière. Je m’étais dit que si un jour, j’avais un peu de temps, je le consacrerais à mettre en ligne les informations disponibles sur les vins étrangers en langue française.