Cette variété rouge est la deuxième variété la plus plantée de l’île et elle jouit d’un regain d’intérêt depuis quelques années après avoir été éclipsée par...
L’étymologie de ce cépage blanc pourrait provenir du village de Girgenti situé dans le sud-ouest de Malte. C’est un cépage productif et tardif sensible...
La législation viticole de 2001 autorise 57 cépages sur l’île. Les deux cépages les plus plantés sont deux cépages autochtones ; pour les variétés blanches : le girgentina et pour les rouges, le ġellewża, tous les grands cépages internationaux sont aussi bien représentés. Pour plus de détails sur les cépages maltais, cliquez sur le lien suivant :
« Un registre des vignobles est tenu avec toutes les informations concernant les agriculteurs qui cultivent la vigne, les superficies plantées en vignes à Malte et à Gozo et les variétés de vigne squi sont cultivées.Les informations contenues dans ces registres sont utilisées par la direction de l’agriculture à des fins statistiques, afin de suivre les plantations de vignobles et de tenir un registre de tous les agriculteurs qui cultivent la vigne.La tenue d’un casier viticole est une obligation en vertu de la loi de 2001 sur le vin ».Cet extrait, provient du site du gouvernement maltais qui donne la liste des variétés cultivées à Malte mais sans donner la superficie plantée pour chaque variété. Nous n’avons pas été en mesure d’obtenir cette information ni des autorités viticoles ni du gouvernement. Il faut dire qu’avec moins de 500 hectares de vignes, le pays passe sous le radar et l’Union Européenne est plus laxiste avec sa règlementation. Comme quoi, les bureaucrates de Bruxelles on parfois un restant d’âme.
Les 57 variétés autorisées (en annexe) qui sont divisées en 3 catégories : S = variétés appropriées, SR = variétés appropriées et recommandées, Ob = variétés sous observation.
Le pays possède 2 cépages autochtones, le ġellewża pour les rouges et le girgentina pour les blancs qui est le cépage le plus planté mais menacé par le chardonnay car les cépages internationaux ont fait leur apparition sur l’île et ont remplacé les cépages traditionnels depuis les années 1970. Il existait en 2010 entre 90 hectares (222 acres) et 200 hectares de girgentina et entre 40 hectares (99 acres) et 100 hectares (247 acres) de ġellewża (Jancis Robinson et. al. The Wine Grapes). Le regain d’intérêt des consommateurs pour les cépages autochtones est susceptible de changer la donne dans les années à venir.