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ZÉRO ALCOOL : LES BOISSONS NO LOW EN PLEIN ESSOR

Source: https://www.sirhafood.com/fr/lyon/zero-alcool-les-boissons-no-low-en-plein-essor

Dans une étude publiée par CGA étayée par NielsenIQ, les consommateurs prennent la route vers plus de sobriété. Moins d’alcool dans leur verre et la CHR (Hors domicile – café, hôtels, restaurants) qui doit s’adapter.

La sobriété s’installe de plus en plus dans les habitudes des Français. Un constat qui se révèle de plus en plus, notamment par le comportement d’achat des individus. La cherté de la vie et des produits de consommation alimentaire orientent également les choix. L’enquête OPUS menée par CGA auprès de 5 000 consommateurs français de boissons en CHR (Hors domicile – café, hôtels, restaurants) révèle effectivement que plus de la moitié des sondés réduiront de manière élevée ou moyenne leur consommation de boissons alcoolisées. 

TENDANCES ALTERNATIVES 

Selon l’étude, plus de 15 % d’entre eux auraient déjà entrepris de diminuer considérablement leur consommation d’alcool. Quand ils sortent, les Français vont choisir des mocktails, ou des boissons non alcoolisées. L’enquête et des données recueillies par  le ‘France Mixed Drinks Report’ (rapport sur les boissons et cocktails en France) montreraient que l’affection des Français pour le cocktail ne les pousse pas à consommer ceux qui sont confectionnés à base d’alcool. En effet, 46 % des sondés préfèrent opter pour un cocktail sans alcool ou avec une teneur en alcool très légère l. Au-delà de la consommation, il s’agit bien d’une stabilisation de ces consommateurs. L’étude souligne que ces consommateurs ne sont pas anodins en CHR et consomment par ailleurs fréquemment à l’extérieur. Ces consommateurs dits No Low (contraction de No Alcohol ou Low Alcohol) sont conséquents. Les données OPUS de CGA by NielsenIQ et le ‘France Mixed Drinks Report’ rapportent que « 53 % fréquentent au moins une fois par semaine, + 9 pts par rapport au visiteur moyen en CHR. Ils dépensent 86 euros par mois lors de leurs sorties en CHR, soit plus que la moyenne de 79 euros, leur revenu moyen étant aussi plus élevé (+ 791 euros par rapport à la moyenne ».