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NAMIBIE

DESCRIPTION DU PAYS

Source: wikipedia.org

Windhoek, la capitale. https://www.sahistory.org.za/

LA NAMIBIE VUE D’AILLEURS

La Namibie est un pays de 824 292 km². Largement désertique, le pays doit son nom au désert du Namib, qui couvre sa côte atlantique, le désert du Kalahari occupant ses frontières orientales. La densité de population ( 3 h/km²) est une des plus faibles du monde. La capitale et la ville la plus peuplée du pays est Windhoek.

Á la suite de la défaite de l’Allemagne en 1918, ses colonies lui furent confisquées, les actuels Etats : ce sont aujourd’hui la Namibie, le Cameroun, le Togo, le Tanganyika et la partie continentale de la Tanzanie et du Ruanda-Urundi. La Namibie (ex Sud-Ouest africain) devint un protectorat de l’Afrique du Sud. L’apartheid y fut imposé à la fin des années 1940 avec  une dizaine de Bantoustans où, dans ces enclaves  le gouvernement blanc d’Afrique du Sud forçait les noirs à se regrouper, les excluant ainsi de la citoyenneté du pays.

                    Le pays est un des Etats les plus jeunes au XX°, il ne devint indépendant qu’en 1990, alors que la quasi-totalité de l’Afrique était décolonisée depuis les années 60. C’est une république à régime semi-présidentiel. Bien que multipartite, l’Organisation du peuple du Sud-Ouest africain (SWAPO) demeure le parti dominant.

Le pays compte environ 2,6 millions d’habitants (= un peu plus que Paris intra-muros), appartenant largement aux ethnies bantoues, notamment les Ovambos qui constituent près de la moitié de la population. 80% des Namibiens sont chrétiens (luthériens les plus nombreux) et 20% animistes. Et la communauté catholique, d’origine portugaise, est vigoureuse. (L’Angola – ex-colonie portugaise – est le voisin au nord). L’anglais est la langue officielle du pays, et plusieurs autres langues indigènes y sont également parlées.

                      Les ancêtres des habitants d’aujourd’hui eurent le triste privilège d’avoir été victimes du premier génocide du XXe siècle (le mot n’avait pas encore été inventé) et d’avoir connu les premiers camps de concentration, inspirés de ceux où les Anglais enfermèrent les  Boers dans l’Afrique du sud voisine en 1901. Le   territoire avait été conquis par les troupes coloniales allemandes entre 1884 et 1911. Après une tentative de soulèvement des indigènes privés de leurs terres entre 1904 et 1908, 80 % des autochtones insurgés et de leurs familles : 65 000 Héréros et près de 20 000 Namas furent tués, victimes d’une répression sauvage perpétrée sous les ordres du général Lothar von Trotha. Repoussés vers le désert du Kalahari où ils meurent par dizaines de milliers de soif et de faim dans le désert Omaheke car Trotha fait empoisonner les points d’eau. Certains se constituent prisonniers et seront déportés enchainés en 1905 dans six camps. Chaque détenu est tatoué des lettres GH (prisonnier Héréro), la moitié des prisonniers seraient morts en captivité, dans la péninsule de Shark Island, puis autour et à Swakopmund, sur la côte froide et désertique. Réévalué à partir des années 1990, ce crime de masse suscite depuis un important travail de mémoire, que ce soit en Namibie même, ou au sein de la communauté des historiens (conflit mémoire/histoire ?).

Thomas Pynchon, l’écrivain américain génial et mystérieux – en dehors de rares photos et de deux apparitions le visage masqué dans les Simpson en 2004 – évoqua en 1973 ce génocide dans un de ses romans les plus  fantasques : « L’arc en ciel de la gravité ».

Thomas Pynchon. Source: wikipedia.org

                 L’économie de la Namibie repose principalement sur l’agriculture, la pêche, les activités minières et le tourisme.  C’est une économie ouverte, les échanges représentant plus de 100 % de son produit intérieur brut. Ce commerce  se fait essentiellement avec l’Afrique du Sud mais le principal client c’est l’Union Européenne. Le secteur minier est crucial, il représente environ 10 % du PIB et la moitié des recettes d’exportation ; le pays est l’un des plus gros producteurs d’uranium dans le monde, (3ième ou 4ième  selon les années), la mine de Husab dans le désert du Namib est la 3ième mine d’uranium à ciel ouvert du monde. Le pays est un fournisseur historique et stratégique de la France, avec le Kazakhstan, l’Australie, l’Ouzbékistan, la Russie et le Niger. 

 Comme son grand voisin de l’est, la Namibie est un important producteur de diamants depuis qu’en 1908, dans le dans la baie de Lüderitz   dans le désert du Namib, un mineur noir qui travaillait à la construction d’une ligne de chemin de fer découvrit un caillou inconnu …C’était un diamant ! Le Sperrgebiet devint dès lors une zone d’exploitation minière de diamant dans le désert entre Lüderitz et la frontière avec l’Afrique du Sud. Depuis une dizaine d’années, l’exploitation devient offshore à cause de la raréfaction de la pierre précieuse sur terre et de son coût d’exploitation, les diamants deviennent marins. Les principales mines sont fermées et des villes-fantômes (parfois restaurées) comme Kolmanskop envahies par le sable, sont devenues  des sites touristiques.

Mine de Husab dans le désert du Namib. Source: Par Olga Ernst & Hp.Baumeler — Travail personnel, CC BY-SA 4.0, https://commons.wikimedia.org/

                            Le produit intérieur brut (PIB) par habitant du pays est un des plus élevés d’Afrique mais nous savons que le PIB ne reflète pas   la répartition de la richesse, la réalité sociale de la Namibie. La richesse est concentrée entre les mains d’une très petite minorité d’origine européenne et blanche (environ 6 % de la population) qui contrôle la majorité du PIB.   C’est une société parmi les plus inégalitaires du monde. La cohésion sociale y demeure une question très sensible en raison de la pauvreté, qui touche des catégories de population bien définies.

 Koudous, zèbres, oryx, girafes, éléphants,  rhinocéros noirs, parfois des fauves, des flamants roses. Le parc national d’Etosha est l’une des plus belles réserves d’Afrique. Les paysages du pays sont grandioses, avec des vides immenses, des paysages lunaires, de bout du monde, abordable, en effet les routes et les pistes sont dans l’ensemble de bonne qualité. En Namibie, le sentiment de liberté est total disent le Guide du Routard et certains autres voyagistes   pour qui la sécurité des touristes n’est pas un souci majeur alors que les diplomates du Canada et de la France par exemple  font un portrait fort différent. Peu encourageant.

        Le mode de vie des Bochimans (qu’on appelle plutôt  San) du Kalahari (Namibie) fut idéalisé depuis les années 1950, lorsque l’écrivain Laurens van der Post glorifiait ces chasseurs-cueilleurs « primitifs. Le film sorti en 1980, « Les dieux sont tombés sur la tête » (The Gods Must Be Crazy), du Sud-Africain Jamie Uys   bien qu’il fut entièrement financé par des capitaux sud-africains, fut présenté comme un film du Botswana (où il fut en partie tourné) afin de contourner l’embargo décrété par nombre de pays à l’encontre de l’Afrique du Sud pour cause de l’apartheid (qui ne sera supprimé qu’en 1991).

Sir Laurens van Der Post, CBE (à droide) avec Carl Jung . Source: https://commons.wikimedia.org/

         Un souvenir sucré de la colonisation demeure  : le strudel règne à Swakopmund. C’est une spécialité pâtissière fine, d’Europe centrale, principalement d’Autriche, Tchéquie, Slovaquie, Slovénie, Allemagne, Hongrie, Suisse alémanique, qui est connue parfois dans les autres pays germaniques ou slaves voisins, voire les contrées latines voisines, comme le Haut-Adige, le Trentin et le Frioul-Vénétie Julienne italiens. C’est une pâtisserie parfumée à la cannelle composée de pâte feuilletée dorée au four qui entoure la garniture qui est un mélange de pommes hachées accompagnées de fruits secs (raisins secs, amandes, etc.) comme pour l’apfelstrudel (strudel aux pommes).

La Namibie est membre de l’ONU, de l’Union Africaine et est devenue en 2014, observateur associé à la (CPLP), la Communauté des pays de langue portugaise lors du sommet de Dili.

PRÉSENTATION DU PAYS VITICOLE

La géographie de la Namibie, pays aride coincé entre les déserts du Namib et du Kalahari, la rend peu propice à la culture de raisins de cuve mais les raisins de table sont une activité lucrative avec 2 récoltes par an. L’encépagement en raisins de cuve est à peine de 30 hectares, principalement français, et qui produisent   environ 150 000 bouteilles de vin par an que se partagent 4 domaines. La viticulture s’effectue dans 3 régions principales, au sud proche du désert de Namib, au centre du pays près d’Omaruru et au nord dans la région d’Otavi / Montavi. Les exploitations viticoles sont associées à des activités œnotouristiques et les vins sont souvent consommés sur place. Le pays n’exporte pas mais a importé pour 50 millions d’Euros de vin principalement d’Afrique du Sud en 2022. La Namibie a la consommation de vin la plus élevée d’Afrique, avec près de 20 litres de vin et 11,8 litres d’alcool pur par personne et par an mais ces statistiques incluent la consommation des touristes (1, 6 millions par an pour 2,5 M habitants). La population, majoritairement noire, ne consomme pas de vin , la boisson traditionnelle nationale est   l’Oshikundu ou Ontaku, une boisson à base de farine de millet fermenté (mahangu), de son et de farine de sorgho malté mélangés à de l’eau tiède.

HISTOIRE

Des vins de fruits sont élaborés depuis longtemps en Namibie en particulier avec l’Eembe, l’un les principaux types de fruits sauvages que l’on rencontre dans le nord de la Namibie mais aussi avec le marula (Sclerocarya birrea) ainsi que les fruits d’autres arbres du veld[1] quand ils sont mûrs.


[1] Le veld est un mot néerlandais désignant essentiellement, mais pas exclusivement, les larges espaces de la campagne en Afrique du Sud et en Namibie ; ces espaces ont un relief peu marqué et sont couverts d’herbe et d’arbustes. Ils sont exploités pour des activités pastorales ou des cultures de céréales.

L’arbre d’Eembe. Source: non identifiée

L’histoire de l’industrie du vin en Namibie remonte à 1884, lorsque des prêtres catholiques allemands plantèrent les premiers vignobles sur les terres de l’actuel St Paul’s College dans la vallée de Klein Windhoek. La production s’arrêta en 1978 avec le décès du dernier prêtre vigneron. En 1904, le gouvernement allemand encouragea la culture du raisin et des olives, tout comme le gouvernement sud-africain dans les années 1950. Cependant, en raison du climat aride de la Namibie, l’attention se tourna vite vers l’Afrique du Sud où les conditions pour la viticulture sont beaucoup mieux adaptées. Avant l’indépendance le 21 mars 1990, il était en fait interdit à la Namibie de cultiver du raisin pour protéger l’industrie viticole sud-africaine. Après l’indépendance de la Namibie en 1990, plusieurs plantations à petite échelle de raisin de table et de cuve ont été installées dans le sud du pays et ont ensuite été étendues aux régions centrales. La sécheresse des terres namibiennes rend difficile le maintien des plantations et l’irrigation est généralement nécessaire.

St Paul’s College. Source: St Paul’s College

En 1990, la cave Kristall Kellerei a été fondée à Omaruru par Helmuth Kluge. Kristall Kellerei a été rachetée en 2008 par le président de NAWGA (Namibian Wine Growers Association), M. Weder, et elle continue de produire des vins de qualité avec des raisins colombard et un mélange rouge unique, le Paradise Flycatcher ainsi que divers spiritueux.

Par la suite, Allen Walken-Davis lui a emboîté le pas et a établi la cave de Neuras près de Maltahoehe dans le sud du pays à la fin des années 199O. Le Dr Bertus Boshoff planta ses premières vignes en 1997 dans une ferme des monts Otavi et créa le domaine de Thonningii. À 2 kilomètres de   la ferme de Boshott, la famille de Schulz et Evrard a également commencé à planter en 2004 des ceps de syrah, de cabernet sauvignon, de viognier, de tempranillo, de mourvèdre et de chardonnay dans leur ferme de Montavi. Pendant la semaine, ils travaillent et vivent dans la capitale. Le week-end, ils prennent la voiture et parcourent les 360 km qui les séparent du domaine, rien que pour leur passion du vin. Certains de leurs vins semblent être commercialisés à petite échelle mais cette passion  n’aboutit  pas à un domaine viticole à part entière .

Le « Cheetah Conservation Fund »[1], un organisme située à 44 kilomètres à l’est d’Otjiwarongo,  a planté ses premières vignes en 2005 et a produit deux récoltes au cours des deux dernières années. Mais le vignoble est expérimental  et il n’y a pas de vin commercialisé sous cette étiquette. En 2018, ils ont conclu un accord avec le domaine Halleck Vineyard, un domaine de la Russian River Valley dans la Sonoma Valley en Californie pour commercialiser trois de leurs vins et 25% des ventes seront utilisés pour financer la protection des guépards.  Et, en 2009, Heiko Pfafferott a planté 1 000 vignes de shiraz sur ½ ha à la ferme Ahrensburg près d’Otjiwarongo en attendant sa première récolte en 2014, produisant sous le nom d’Omumbara. Il ne semble pas que des vins aient été commercialisés sous cette étiquette.


[1] Le Cheetah Conservation Fund est une institution de recherche et de lobbying  pour la subsistance de la population de guépards du pays, la plus grande et la plus saine au monde.

Source: Cheetah Conservation Fund

Si la production de raisins de cuve est limitée, la production de raisins de table n’est pas négligeable même si la production ne figure pas parmi les vingt plus importantes du monde. En 2023, 38 250 tonnes de raisins ont été produits. La célèbre Grape Valley de Namibie à Aussenkehr  est située à environ 300 km à l’ouest de la rivière Orange de l’Afrique du Sud et les variétés sont le  Arra 33, et le  Honey Pop. Les variétés Early Sweet and Prime Seedless sont considérées comme trop précoces pour la région. Les raisins sont majoritairement exportés et représentent une valeur de 45 millions d’Euros. Les principaux marchés d’exportation sont  : les Pays-Bas (32%), le Royaume-Uni (31%) et l’Allemagne (14,1%).

Vignoble de raisins de table de Silverlands. Source: Silverlands

Non seulement, la géographie du pays est peu propice à la viticulture mais pour la vinification et l’embouteillage, tout le matériel doit être importé principalement d’Afrique du Sud, ce qui accroît les coûts de production.

L’Association des viticulteurs namibiens (NAWGA) fut créée le 15 août 2013 par quatre viticulteurs namibiens[1]. Elle vise à développer et à motiver les autres en soutenant l’industrie viticole et ses viticulteurs. Il n’est pas certain que cette association soit encore aujourd’hui active et le nombre de domaines viticoles namibiens ne semble pas avoir augmenté.  

Alors quel avenir pour la petite industrie viticole de Namibie ? Heiko Pfafferott, qui après avoir grandi à Otjiwarongo, diplômé de l’Université de Cape Town en viticulture et œnologie, a déclaré que « avec la sélection de cépages rustiques et résistant à la sécheresse, ainsi que le développement des compétences et un investissement à long terme, le développement d’une petite industrie viticole en croissance est possible en Namibie « . Dans le monde entier, la viticulture et la vinification sont un art et un style de vie que la Namibie adopte également maintenant.

L’œnotourisme semble être la voie pour le développement de cette industrie car la Namibie est un pays d’une beauté spectaculaire au paysage unique et elle attire des visiteurs de tous les pays au pouvoir d’achat conséquent.   


[1] Les membre de l’association sont :  M. Michael Weder, propriétaire de la cave Kristall Kellerei à Omaruru et président de l’association ; Dr Bertus Boshoff, propriétaire de la ferme viticole Thonningii et vice-président et trésorier de l’association ; M. Heiko Pfafferott, viticulteur (viticulteur) et œnologue (vigneron) de formation d’Otjiwarongo chargé de la Recherche ; et le Dr Laurie Marker, fondatrice et directrice exécutive du Cheetah Conservation Fund et secrétariat de l’association.

CLIMAT

La Namibie est  un pays sec qui abrite deux grands déserts, le désert du Kalahari dans sa partie orientale et le désert du Namib qui s’étend sur environ 80 kilomètres à l’intérieur le long de l’océan Atlantique. Les seuls fleuves pérennes sont le Kunene et le Kavango qui forment les frontières avec l’Angola, le Zambèze avec la Zambie et l’Orange avec l’Afrique du Sud. Toutes les autres rivières du pays ne transportent de l’eau que lors de fortes pluies. Dans le centre-nord, les paysages sont de vastes plaines ou «Oshanas», souvent gravement inondées par les crues du fleuve Kunene, à la suite de fortes pluies dans le sud de l’Angola.

La Namibie est située sur la marge sud des tropiques et a des saisons distinctes. La côte est refroidie par le courant froid de Benguela et enregistre en moyenne moins de 50 millimètres (2 pouces) de précipitations par an. Le plateau central et le Kalahari ont de larges plages de températures diurnes, plus de 30 °C (50 °F ) les jours d’été et moins de 10 °C (20 °F ) en hiver. À Windhoek, sur le plateau, la température moyenne en décembre est de 24 °C (75 °F) et la moyenne maximale de 31 °C (88 °F). En juillet, ces moyennes sont respectivement de 13 °C  (55 °F) et 68 ° F (20 ° C). L’humidité est normalement faible et les précipitations augmentent d’environ de 250 millimètres (10 pouces) sur les parties sud et ouest du plateau à environ 500 mm (20 pouces) dans la partie centre-nord et plus de 600 mm (24 pouces) sur la bande de Caprivi et les monts Otavi où se trouvent des vignobles. Cependant, les précipitations sont très variables et les sécheresses pluriannuelles sont courantes.

Climat actuel

Climat futur

SOLS

Source: researchgate.net

À l’ouest, les sols dominants sont les arénosols, les gypsisols, les leptosols, ainsi que les sables dunaires, les plaines de gravier et les affleurements rocheux. Dans les zones d’escarpement et les montagnes, les sols sont principalement constitués de leptosols et de régosols. Sur les roches calcaires, les calcisols sont fréquents.

La dispersion des domaines viticoles et les faibles encépagements rendent une analyse globale des sols difficile. Les sols de Winemakers & Distiller de Michael Weder (anciennement   Kristall Kellerei)  sont sablonneux avec un peu d’argile, donc pas trop fertiles ce qui est favorable car ainsi les vignes  doivent chercher les nutriments. Les vignobles d’Erongo Mountain Winery sont sur de la roche granitique sèche et aride. Les sols de Neuras sont des roches siliciclastiques  avec des grès et sont riches en quartz avec jusqu’à 20% de feldspath. Ils sont de nature alcaline. Les sols du domaine de Thonningii Wine Cellar sont des schistes rouges.

RÉGIONS VITICOLES

La Namibie n’a pas de régions viticoles officielles (Indications Géographiques) voire même de régions viticoles non officielles définies. Ce sont les domaines viticoles qui de facto définissent les régions viticoles et ils sont au nombre de quatre épars sur le territoire du pays. Pour en savoir plus sur les domaines viticoles de Namibie, cliquez sur le lien suivant: NAMBIE RÉGIONS VITICOLES

CÉPAGES

La Namibie qui possède à peine une trentaine d’hectares a construit sa viticulture sur les Vitis vinifera plutôt que sur les hybrides à part le Ruby cabernet. Pour en savoir plus sur les cépages de Namibie:NAMIBIE CÉPAGES

LÉGISLATION ET RÈGLEMENTATION

Actuellement, le commerce de l’alcool et des spiritueux est régi par la loi sur les alcools de la Namibie de 1998. Pour en savoir plus sur la législation et la règlementation sur les vins et les alcools de Namibie, cliquez sur le lien suivant: NAMIBIE LÉGISLATION ET RÈGLEMENTATION