MÂCON AOP

Vins de Bourgogne

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L’APPELLATION

L’appellationMâcon est réservée aux vins secs tranquilles blancs, rouges ou rosés. La récolte des raisins, la vinification et l’élaboration des vins sont assurées sur le territoire de certaines communes du département de Saône-et-Loire. 

HISTOIRE

La présence de la vigne dans le « Mâconnais » est attestée dès le IIIème siècle.

La culture de la vigne et le commerce du vin connaissent un essor important à partir du Moyen-Âge, grâce aux grands ordres monastiques et notamment l’abbaye de Cluny, située à l’ouest de la zone géographique, et Tournus, au nord. Le « Mâconnais » médiéval est une région agricole riche et peuplée, comme en atteste les dizaines de petites églises romanes préservées au cœur des villages.

Au XVIIème siècle (édit des échevins de Mâcon de 1620), le « Mâconnais » cherche, pour sa production de vins rouges, à n’utiliser qu’une variété fine dite « petit gamay ». A cette même époque, le cépage chardonnay B est implanté pour la production de vins blancs. Les lourdes mesures fiscales prises par la ville de Lyon, dissuadent les producteurs de l’approvisionner en « vins courants ». Ces producteurs se tournent alors vers la production de « vins fins », vendus à des prix plus élevés sur le marché parisien.

Au début du XXème siècle, les producteurs se regroupent et ouvrent à la défense du nom de leur région. La démarche aboutit, en 1937, avec la reconnaissance de l’appellation d’origine contrôlée « Mâcon ».

A partir des années 1920, face à la crise viticole, des producteurs et hommes politiques se lancent dans le mouvement coopératif. La première cave coopérative est créée en 1926, à Saint-Gengoux-de-Scissé, au cœur de la zone géographique. Dix ans plus tard, elles sont 15 « filles de misère », comme les baptisent alors leurs fondateurs.

A Mâcon, les producteurs fondent, en 1958, la « Maison Mâconnaise des Vins », lieu de dégustation, d’achat et de découverte des vins. L’« Union des Producteurs de Vins de Mâcon » est créée en 1972. Elle se voue à la préservation et la mise en valeur du territoire, des traditions locales et des savoir-faire ainsi que des produits qui en sont issus.

Economiquement et socialement, le « Mâconnais » est partagé entre les villes de Chalon-sur-Saône, au nord, et Mâcon, au sud. Le centre et le sud de la zone géographique, principalement plantés en cépage chardonnay B, produisent essentiellement des vins blancs. Les vignes sont taillées selon les usages locaux, en « taille à queue ».

La partie nord de la zone géographique adopte des usages apparentés à ceux du « Châlonnais » voisin, avec la présence des cépages gamay N et pinot noir N, des pla Les plantations du cépage gamay N sont préférentiellement localisées sur les parcelles présentant des sols acides, sur les franges granitiques des « chaînons » occidentaux et aux confins méridionaux de la zone géographique, près des « Monts du Beaujolais », et au nord, près du « Châlonnais ». Le centre et le sud de la zone géographique constitue le noyau historique des vins bénéficiant de la mention « Villages », avec le cépage chardonnay B omniprésent.

La diversité des situations viticoles, la structuration autour des caves coopératives, ont naturellement généré l’usage de l’indication du nom de la commune de provenance des raisins. Pour les vins blancs, cet usage reste limité à la zone géographique des vins bénéficiant de la mention « Villages ». Ainsi, 26 dénominations géographiques complémentaires différencient les vins blancs, et 20 dénominations géographiques complémentaires enrichissent la palette des vins rouges et rosés.

S’étendant sur une superficie d’environ 3200 hectares destinés à la production de vins blancs et 500 hectares destinés à la production de vins rouges et rosés, le vignoble est exploité par plus de 1000 producteurs coopérateurs et près de 500 caves particulières.

Les vins bénéficiant de la mention « Villages » ou d’une dénomination géographique complémentaire représentent plus des trois quarts de la production. Le secteur coopératif reste encore très implanté et contribue à l’essor des vins. Après une période de fusions, il reste toujours 10 structures coopératives.

CLIMAT ET SOLS

La zone géographique de l’appellation d’origine contrôlée « Mâcon » correspond

à la région naturelle du « Mâconnais », située en Bourgogne méridionale. Elle couvre un ensemble de collines aux sommets boisés et aux pentes couvertes de vignes, bordées par la plaine de la Saône, au nord et à l’est, et la vallée de la Grosne et le Charollais, à l’ouest. Au sud, elle se prolonge par les « Monts du Beaujolais ». Elle s’étend ainsi sur le territoire de 91 communes, parmi lesquelles, 80 constituent la zone géographique des vins bénéficiant de la mention « Villages ». Le « Mâconnais » se présente comme un ensemble de longues crêtes parallèles, allongées selon une direction nord-nord-est/sud-sud-ouest et séparées par un système de failles parallèles. Chacun de ces « chaînons » est basculé vers l’orient et fait se succéder, d’ouest en est, le socle granitique ou schisteux paléozoïque, puis les couches sédimentaires calcaires ou argileuses, triasiques et jurassiques, qui le recouvrent.

En outre, des formations tertiaires occupent les dépressions et sont représentées par des sables siliceux, des argiles à silex, ou des conglomérats calcaires.
Les affleurements granitiques sont plus fréquents, au sud et à l’ouest, de la zone géographique. Ils sont absents des « chaînons » orientaux. Les piémonts sont fréquemment empâtés par des formations argilo-limoneuses, issues de l’altération des calcaires et des marnes, pouvant atteindre une épaisseur de plusieurs mètres.

Selon les substrats, les sols sont extrêmement variés :
– sols siliceux et acides sur le socle paléozoïque, sableux et filtrants sur les arènes granitiques, très caillouteux et plus argileux sur les formations schisteuses ;
– sols calcaires, parfois très pierreux, sur les flancs des reliefs exposés à l’est, sur les substrats du Jurassique ;
– sols limoneux décarbonatés, superficiels sur les substrats marneux, plus profonds sur les altérites de bas de coteau.
La morphologie en « chaînons » est marquée par la prépondérance des expositions des coteaux, vers l’est et l’ouest. Des versants regardant vers le nord et le sud, sont présents le long des vallées orientées vers l’est et la Saône.

La région baigne dans un climat océanique à tendance méridionale. Le « Mâconnais » est soumis aux influences rhodaniennes pénétrant par la vallée de la Saône et qui limitent les excès d’humidité. La barrière naturelle des « Monts du Charollais », à l’ouest, protège, en partie, la zone géographique, des influences humides océaniques. Les précipitations sont régulièrement réparties au cours de l’année (800 millimètres en moyenne) et sont modérées durant la période végétative de la vigne. La température moyenne annuelle est de 11°C et l’ensoleillement moyen de 2000 heures par an. Les étés sont chauds et bien ensoleillés.

Les parcelles délimitées pour la récolte des raisins destinés à la production de vins rouges occupent des coteaux d’expositions diverses sur tous les types de substrats, aussi bien siliceux que calcaires. Le critère déterminant est le drainage, dépendant à la fois de la nature des sols et de la topographie.

Les parcelles délimitées pour la récolte des raisins destinés à la production de vins blancs se limitent aux substrats calcaires ou faiblement décarbonatés.
Celles délimitées pour la récolte des raisins destinés à la production de vins pouvant bénéficier de la mention « Villages » privilégient les situations dotées des meilleures conditions méso-climatiques, avec des expositions vers l’est et vers le midi, le plus souvent.

DÉLIMITATION DE L’APPELLATION

La récolte des raisins, la vinification et l’élaboration des vins sont assurées sur le territoire des communes suivantes du département de Saône-et-Loire : Ameugny, Azé, Berzé-la-Ville, Berzé-le-Châtel, Bissy-la-Mâconnaise, Bissy-sous-Uxelles, Blanot, Bonnay, Boyer, Bray, Bresse-sur-Grosne, Burgy, Burnand, Bussières, Chaintré, Champagny-sous-Uxelles, Chânes, Chapaize, La Chapelle-sous- Brancion, Charbonnières, Chardonnay, Charnay-lès-Mâcon, Chasselas, Château, Chevagny-lès-Chevrières, Chissey-lès-Mâcon, Clessé, Cortambert, Cortevaix, Crèches-sur-Saône, Cruzille, Curtil-sous-Burnand, Davayé, Donzy-le-National, Etrigny, Farges-lès-Mâcon, Fleurville, Fuissé, Grevilly, Hurigny, Igè, Jalogny, Jugy, Lacrost, Laives, Laizé, Leynes, Lournand, Lugny, Mâcon, Malay, Mancey, Martailly-lès-Brancion, Massy, Milly-Lamartine, Montbellet, Montceaux-Ragny, Nanton, Ozenay, Péronne, Pierreclos, Plottes, Préty, Prissé, La Roche-Vineuse, Royer, Saint-Albain, Saint-Gengoux-de-Scissé, Saint-Gengoux-le-National, Saint- Martin-Belle-Roche, Saint-Maurice-de-Satonnay, Saint-Vérand, Saint-Ythaire, La Salle, Salornay-sur-Guye, Savigny-sur-Grosne, Sennecey-le-Grand, Senozan, Serrières, Sigy-le-Châtel, Sologny, Solutré-Pouilly, Tournus, Uchizy, Vergisson, Vers, Verzé, Le Villars, La Vineuse, Vinzelles, Viré.

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DÉROGATION SUR LA DÉLIMITATION DE L’APPELLATION

– Département de la Côte-d’Or : Agencourt, Argilly, Autricourt, Cérilly, Chambœuf, Channay, Châtillon-sur-Seine, Clémencey, Combertault, Corcelles-lès-Arts, Curley, Ebaty, Epernay-sous-Gevrey, Etrochey, Flavignerot, Fleurey-sur-Ouche, Gerland, Grancey-sur-Ource, Lantenay, Levernois, Merceuil, Meursanges, Montagny-lès-Beaune, Nicey, Perrigny-lès-Dijon, Prusly-sur-Ource, Quincey, Ruffey-lès-Beaune, Saint-Bernard, Saint-Philibert, Sainte-Colombe-sur-Seine, Sainte-Marie-la-Blanche, Tailly, Velars-sur-Ouche, Vertault, Vignoles, Villebichot et Villy-le-Moutier ;

– Département du Rhône : Avenas, Chasselay, Dardily, Dracé, Fleurieux-sur- l’Arbresle, Sain-Bel, Taponas et Villefranche-sur-Saône ;
– Département de Saône-et-Loire : Beaumont-sur-Grosne, Chalon-sur-Saône, Champforgeuil, La Chapelle-de-Bragny, La Charmée, Châtenoy-le-Royal, Chaudenay, Cluny, Cormatin, Demigny, Donzy-le-Pertuis, Farges-lès-Chalon, Flagy, Granges, Lalheue, La Loyère, Massilly, Messey-sur-Grosne, Saint- Ambreuil, Saint-Germain-lès-Buxy, Saint-Gervais-sur-Couches, Saint-Rémy, Saisy, Sancé, Taizé et Varennes-lès-Macon ;

– Département de l’Yonne : Aigremont, Annay-sur-Serein, Arcy-sur-Cure, Avallon, Bazarnes, Bessy-sur-Cure, Censy, Champlay, Champs-sur-Yonne, Chamvres, Châtel-Gérard, Chevannes, Coulangeron, Cruzy-le-Châtel, Escamps, Gy-l’Evêque, Héry, Island, Jouancy, Lichères-près-Aigremont, Lucy-sur-Cure, Mélisey, Merry- Sec, Molay, Montigny-la-Resle, Moulins-en-Tonnerois, Nitry, Noyers, Ouanne, Paroy-sur-Tholon, Pasilly, Pierre-Perthuis, Pontigny, Roffey, Rouvray, Sacy, Sainte-Pallaye, Sainte-Vertu, Sarry, Senan, Tissey, Vallan, Venouse, Vézannes, Villeneuve-Saint-Salves, Villiers-sur-Tholon, Vincelles, Yrouerre.

CÉPAGES PRINCIPAUX

chardonnay B, gamay N, pinot noir

RENDEMENTS MAXIMAUX

– Le rendement est fixé à 70 hectolitres par hectare pour les vins blancs et 64 hectolitres par hectare pour les vins rouges et rosés ;
– Le rendement butoir est fixé à 75 hectolitres par hectare pour les vins blancs et 69 hectolitres par hectare pour les vins rouges et rosés.

VINS ET CARACTÉRISTIQUES ŒNOLOGIQUES

– Les techniques soustractives d’enrichissement (TSE) sont autorisées pour les vins rouges dans la limite d’un taux de concentration de 10 %.
– Pour l’élaboration des vins rosés, l’utilisation de charbons à usage œnologique, seuls ou en mélange dans des préparations, est interdite.
– L’utilisation de copeaux de bois est interdite.
– Les vins blancs ne dépassent pas, après enrichissement, le titre alcoométrique volumique total de 12,50%.
– Les vins rouges et rosés ne dépassent pas, après enrichissement, le titre alcoométrique volumique total de 13%.
Outre les dispositions ci-dessus, les vins doivent respecter, en matière de pratiques œnologiques, les obligations figurant au niveau communautaire et dans le code rural et de la pêche maritime.

CARACTÉRISTIQUES VITICOLES

a) – Densité de plantation
– Les vignes présentent une densité minimale à la plantation de 7000 pieds par hectare ;
– Ces vignes présentent un écartement, entre les rangs, inférieur ou égal à 1,80 mètre et un écartement, entre les pieds sur un même rang, supérieur ou égal à 0,80 mètre.

Vignes implantées sur pentes sableuses :
– parcelles présentant une pente moyenne supérieure ou égale à 15 % ; – sol présentant un taux de sable supérieur ou égal à 30%.

Les vignes présentent une densité minimale à la plantation de 5000 pieds par hectare ;
– Ces vignes présentent un écartement, entre les rangs, inférieur ou égal à 2,20 mètres et un écartement, entre les pieds

Vignes implantées sur des pentes autres que sableuses : parcelles présentant une pente moyenne supérieure ou égale à 25 %.

sur un même rang, supérieur ou égal à 0,80 mètre.

b) – Règles de taille
Les vins proviennent des vignes taillées selon les dispositions suivantes :

Vins rouges et rosés

Les vignes sont taillées avec un maximum de 10 yeux francs par pied :
– soit en taille courte (vignes conduites en cordon de Royat, cordon bilatéral, gobelet et éventail), avec un nombre d’yeux francs par mètre carré inférieur ou égal à 6 ;
– soit en taille longue (vignes taillées en Guyot simple ou double) avec un nombre d’yeux francs par mètre carré inférieur ou égal à 7.

Vins blancs

Les vignes sont taillées avec un maximum de 10 yeux francs par pied :
– soit en taille courte (vignes conduites en cordon de Royat ou cordon bilatéral), avec un nombre d’yeux francs par mètre carré inférieur ou égal à 8 ;
– soit en taille longue (vignes taillées en Guyot simple ou double) avec un nombre d’yeux francs par mètre carré inférieur ou égal à 8,5.

Les vignes taillées à queue du Mâconnais sont taillées avec un nombre d’yeux francs par mètre carré inférieur ou égal à 10 et un nombre d’yeux francs par pied inférieur ou égal à 14.
La pointe du long bois est attachée sur le fil inférieur du palissage

Lors du rajeunissement des cordons le nombre maximum d’yeux francs par pied est de 10.

Pour les vins blancs, la taille Guyot peut être adaptée avec un 2ème courson permettant d’alterner d’une année à l’autre la position de la baguette, avec un nombre d’yeux francs par mètre carré inférieur ou égal à 10 et un nombre d’yeux francs par pied inférieur ou égal à 14.

Quel que soit le mode de taille, les vignes peuvent être taillées avec des yeux francs supplémentaires sous réserve qu’au stade phénologique correspondant à 11 ou 12 feuilles, le nombre de rameaux fructifères de l’année, par pied, soit inférieur ou égal au nombre d’yeux francs défini pour les règles de taille.

c) Les vins susceptibles de bénéficier de la mention « primeur » ou « nouveau » sont exclusivement issus des raisins récoltés la même année.

AUTRES CARACTÉRISTIQUES

a) – Les vins susceptibles de bénéficier de la mention « primeur » ou « nouveau » sont présentés obligatoirement avec l’indication du millésime.
b) – Le nom de la dénomination géographique complémentaire suit le nom de l’appellation d’origine contrôlée et est inscrit sur les étiquettes en caractères dont

les dimensions sont identiques à celles des caractères composant le nom de l’appellation d’origine contrôlée.
c) – L’étiquetage des vins bénéficiant de l’appellation d’origine contrôlée peut préciser le nom d’une unité géographique plus petite, sous réserve :

– qu’il s’agisse du nom d’un lieu-dit cadastré;
– et que celui-ci figure sur la déclaration de récolte.
Le nom du lieu-dit cadastré est inscrit immédiatement après le nom de l’appellation d’origine contrôlée et imprimé en caractères dont les dimensions ne sont pas supérieures, aussi bien en hauteur qu’en largeur, à la moitié de celles des caractères composant le nom de l’appellation d’origine contrôlée.
d) – Lorsque le nom de l’appellation d’origine contrôlée est complété par l’indication du cépage principal, celle-ci est imprimée en caractères dont les dimensions, aussi bien en hauteur qu’en largeur, ne dépassent pas les deux tiers de celles des caractères du nom de l’appellation d’origine contrôlée.
e) – L’étiquetage des vins blancs bénéficiant de l’appellation d’origine contrôlée « Mâcon » suivie d’une dénomination géographique complémentaire ou de l’appellation d’origine contrôlée « Mâcon » suivie de la mention « Villages » peut préciser l’unité géographique plus grande « Vin de Bourgogne ».
f) – L’appellation d’origine contrôlée « Mâcon » peut être suivie de l’une des dénominations géographiques complémentaires suivantes selon les dispositions fixées dans le cahier des charges :

DGC: – « Azé » ; – « Bray » ; – « Burgy » ; – « Bussières » ; – « Chaintré » ; – « Chardonnay » ; – « Charnay-lès-Mâcon » ; – « Cruzille » ; – « Davayé » ; – « Fuissé » ; – « Igé » ; – « Lugny » ; – « Loché » ; – « Mancey » ; – « Milly-Lamartine » ; – « Montbellet » ; – « Péronne » ; – « Pierreclos » ; – « Prissé » ; – « La Roche-Vineuse » ; – « Serrières » ; – « Solutré-Pouilly » ; – « Saint-Gengoux-le-National » ; – « Uchizy » ; – « Vergisson » ;

g) – L’appellation d’origine contrôlée « Mâcon » peut être suivie de la mention
« Villages » selon les dispositions fixées dans le cahier des charges.
h) – L’appellation d’origine contrôlée « Mâcon » suivie ou non de la mention
« Villages » peut être complété par la mention « primeur » ou « nouveau » selon les dispositions fixées dans le cahier des charges

Dernière modification du cahier des charges : 14   décembre  2013