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SLOVÉNIE

DESCRIPTION DU PAYS

Ljubjana. Source: Pixabay.com

LA SLOVENIE VUE D’AILLEURS

       La Slovénie est un très petit pays discret : 20,273 km² (= ½ de l’Aquitaine), avec environ 2 millions d’hab (= Paris intra-muros). Ljubljana est la capitale.

C’est un pays alpin, avec le massif du Pohorje, les Alpes kamniques et une partie des Alpes juliennes, culmine au Triglav (2 864 m), représenté sur le drapeau et sur la pièce de 50 centimes d’euro. La forêt couvre la moitié du pays, Quarante-six kilomètres de côtes sur la mer Adriatique avec le port de Koper. Le plateau du Karst, par ses formations calcaires érosives spectaculaires et variées, a fait la célébrité géographique de la région.

Les peuples Celtes, Illyriens au II° siècle furent conquis par les Romains. Les Slovènes sont des Slaves venus du nord des Carpates. Le tout premier État slovène est la Carinthie. Dès le IX° siècle, la région est soumise à l’occupation germanique. Elle est grignotée par la république de Venise au XIII°. Puis elle passe du XIV° siècle à 1918 sous la domination des Habsbourg d’Autriche à l’exception du Frioul et de l’Istrie, qui ne seront annexés à l’Autriche qu’en 1797. Elle subit pendant 4 ans la tutelle de Napoléon.

Au XIX° un courant nationaliste naît demandant l’autonomie à l’intérieur de l’Empire austro-hongrois (« la prison des peuples »). En 1918, les Slovènes sont partie prenante dans la constitution du Royaume des Slovènes, des Croates et des Serbes, qui va devenir la Yougoslavie (1929).

En 1941, le pays est partagé entre l’Allemagne nazie, l’Italie fasciste et la Hongrie. A la fin de la guerre, les partisans communistes triomphent. La Slovénie intègre la Yougoslavie. Elle y sera la république la plus avancée et la plus prospère. La ville de Trieste est rendue à l’Italie en 1954.

En 1991, après l’introduction du multipartisme et de la démocratie, la Slovénie est la première république à faire sécession de la Yougoslavie, devient un État souverain indépendant. La Constitution d’une république parlementaire est adoptée en décembre 1991,

La population est très homogène, la nation s’est construite autour de la langue qui fut codifiée au XIX°. Les Slovènes sont majoritaires (autour de 85 %), quelques minorités : Serbes (2 %), Croates (1,8 %), Bosniaques (1,1 %)… Trois minorités nationales sont reconnues : Italiens (au sud-ouest), Hongrois (au nord-est) et Tziganes (ici et là).

Les catholiques sont majoritaires (57%), puis des orthodoxes (2,5%), des musulmans (un peu moins de 2%),d’origine bosniaque ou albanaise.

Après l’indépendance (25 juin 1991), elle s’est engagée dans une transition économique lente et prudente, la loi de privatisation n’entre en vigueur qu’en 1993. Au vu de ses résultats économiques, la Slovénie entre dans l’UE en 2004. et en 2007, devient le premier ancien pays communiste à intégrer la zone euro. Adhère à l’OTAN en 2004.

Le pays possède des atouts : main-d’œuvre de bon niveau, emplacement géographique stratégique en Europe, infrastructures de bonne qualité. Lors des négociations d’adhésion à l’UE, la Slovénie a obtenu de nombreuses dérogations, refusant une ouverture totale à la concurrence de secteurs-clés de l’économie. Le pays est ainsi le seul en Europe centrale et orientale à avoir conservé le contrôle de son secteur bancaire. Il a aussi sauvegardé un important service public construit durant la période socialiste. L’économie ouverte, largement dépendante des marchés extérieurs, exporte des véhicules automobiles (les usines du groupe Revoz, filiale de Renault, domiciliées à Novo Mesto alimentent le marché national et écoulent en France une part importante de leur production); des produits pharmaceutiques, des appareils électriques, des produits chimiques, pour les ¾ vers l’UE, ses principaux clients sont l’Allemagne, l’Italie, la Croatie et l’Autriche. Les exportations vers les marchés américains et chinois progressent de façon importante.

L’image de la Slovénie est le plus souvent celle d’un État sans problème, une vision idyllique affirmée par les autorités slovènes et reprise automatiquement à l’étranger.

Mais le pays n’échappe pas aux problèmes, comme les enjeux ethniques, le retour du rôle de l’Église catholique dans la politique et le souvenir réactivé des massacres dont furent victimes les Slovènes accusés par les partisans de la collaboration avec les Allemands. Les débats géopolitiques posés en Slovénie sont complexes, les enjeux, très liés les uns aux autres, sont apparus plus tardivement et ont grandement détérioré le climat de la société slovène au cours de ces dernières années. Pourquoi on assiste-t- à l’éclosion de ces questions ?

Il semble que les Slovènes n’ont pas tous la même idée de la nation, certains privilégiant une approche ethnique en s’opposant à l’intégration des « effacés » (en effet, après l’indépendance en 1991, 18 355 citoyens « non-Slovènes » ont été effacés des registres administratifs et classés comme étrangers, car nés dans une autre république yougoslave, finalement réintégrés en 2004. D’autres font du catholicisme un des fondements de la nation slovène, ces représentations différentes sont nées avec la transition démocratique. L’idée de revanche paraît centrale dans la politique nationale.

Gašper Pust alias Gaspard Proust, bien connu en France, comédien et humoriste slovéno-suisse est né à Novo Mesto, en Slovénie.

Le protée, une espèce de salamandre, est l’un des symboles importants de la Slovénie. « Partageant la faculté de changer de forme à l’envi avec d’autres divinités grecques marines, le nom de Protée a servi de radical en latin — et à partir de là dans la plupart des autres langues européennes — pour former des termes comme protéiforme« . Son nom renvoie à la Grèce antique. Dans la mythologie grecque, Protée  est une divinité marine, mentionnée en particulier par Homère dans l’Odyssée comme « Vieillard de la Mer » et gardien des troupeaux de phoques de Poséidon. Il est doté du don de prophétie et du pouvoir de se métamorphoser ». Le pays dispose de 8 000 grottes abritant parfois cet animal.

Gaspart Proust. Source:Par rikedenimes — https://www.youtube.https://commons.wikimedia.org/

 

PRÉSENTATION DU PAYS VITICOLE

La Slovénie compte plus de 28 000 établissements vinicoles produisant entre 80 et 90 millions de litres par an à partir des 22 300 hectares de vignobles du pays. On cultive 52 cépages dans le pays : 37 cépages blancs et 15 cépages rouges. 68% des vins produits sont des vins blancs. 67% de la production du pays sont des vins d’appellation. La quasi-totalité du vin est consommée au niveau national, avec seulement 6,1 millions de litres exportés par an, principalement aux États-Unis, en Bosnie-Herzégovine, en Croatie et dernièrement en République Tchèque.
La Slovénie compte trois régions viticoles principales: Primorje (Primorska), Podravje (Podravska), Posavje (Posavska) et 9 districts viticoles.
La consommation par habitant est de 688,000 d’hectolitres en 2017/2018 soit  91%  des vins  produits dans le pays et la consommation par habitant était  de 33 litres par an

HISTOIRE

La viticulture de la région  slovène  s’est développée au rythme des aléas de l’histoire, riches en rebondissements en Europe centrale avant que  les Slovènes  n’exercent leur autodétermination en  octobre 1918, en tant que cofondateur de l’État des Slovènes, des Croates et des Serbes. Cette monarchie sera appelée royaume de Yougoslavie à partir de 1929.
Mais dans l’histoire de cette région, aucune domination n’a entravé durablement la viticulture qui débuta vers le 4e et 3e siècles avant Jésus-Christ dans la région de la Styrie sous le contrôle des Celtes. Les Romains prirent la suite et s’établirent  entre  le premier siècle  avant J.C. et l’an 313 après-Jésus-Christ. D’ailleurs, il existe de nombreux vestiges archéologiques qui attestent d’une industrie viticole dynamique en particulier en Styrie autour de Ptuj,  en Istrie, à Karst dans la vallée de la Vipava et à Brda. Quand les Romains furent chassés et que les Barbares s’installèrent dans la région, la viticulture souffrit avant que les Slaves ne s’y installent  aux alentours de l’an 600 ans après Jésus-Christ et assimilent les descendants des Romains et leurs connaissances en viticulture. ​

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L’ÉTAT DES SLOVÈNES, DES CROATES ET DES SERBES. SOURCE: @DisgregacióndeAustriaHungría.svg. Wikimedia Commons. 

La religion catholique  et son Eglise favorisèrent  le développement  de la viticulture avec l’usage  du vin dans  le rituel  de la messe. La viticulture fut fortement encouragée avec l’arrivée des Francs au VIII° siècle  avant que Charlemagne peu après 794  n’introduise le décret  « Capitulare de Villis » qui réglementait la viticulture, le vin et même l’utilisation des excédents. Un document de 890, le premier document écrit existant sur le sujet,  certifie la vente de vin de Styrie à l’archevêché  de Salzbourg,  ce qui atteste officiellement  l’existence de la viticulture dans cette région. Comme un peu partout en Europe la viticulture passa sous le contrôle de l’Eglise vers  l’An 1000 à  1100 avec les Bénédictins, les Cisterciens,  les Dominicains et les Cartusiens. Le nom de ribolla apparaît dès 1235 et de 1280 à 1920 c’est au tour du teran, de la malvasia, entre autres, d’apparaître dans  des chroniques viticoles. Entre 1500 et 1600, sera plantée, à Maribor, la vigne la plus ancienne  qui donne encore aujourd’hui des raisins.
La viticulture et les vins devenant un élément important du commerce,  ils furent t réglementés  par un décret, le « Gorske Bukve » en 1543 qui fut traduit en slovène en 1582 par un prêtre, Andrej Recelj; il constitue le premier document légal en langue  slovène. En 1789, le terme Cviček, aujourd’hui un vin de tradition, apparaît dans un dictionnaire. En 1789-1790, le cadastre Joséphine documente d’une manière très précise l’encépagement en Styrie (19 186 hectares) ainsi que les rendements très faibles  de 11,5 hectolitres par hectare.

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CAPITULARE DE VILLIS. SOURCE: Domaine public. 

De 1841 à 1855, un catalogue recensant 282 variétés avec des dessins de l’époque est publié par Franz Trummer et  le premier  traité de viticulture en langue slovène, Vinoreja sa Slovenze, est publié par le Père  Matija  Vertovec. L’année 1852 vit la production du premier effervescent obtenu par la méthode traditionnelle.
C’est au  début des années 1870  que sont créées  plusieurs écoles d’agriculture, en particulier l’école de Maribor, toujours existante sous le nom d’École Botanique de Maribor, la plus importante du pays.
Quand le phylloxéra arriva dans la région en 1880, il y avait 51 832 hectares de vignes en Slovénie. Dans les années 1890 des coopératives  naquirent  à Maribor, Ormož, Crnomelj et Metlika. En 1905 cinq districts viticoles furent créés en Basse-Styrie et une liste des cépages autorisés publiée qui fut  révisée en 1935.
La période d’après- guerre jusqu’à l’indépendance  de la Slovénie en 1991 fut marquée par la domination des coopératives dans le style monopolistique d’Etat typique des pays sous domination soviétique. Mais parallèlement, se développèrent des Instituts viticoles et de défense des intérêts des producteurs comme l’Association des Sociétés d’Affaires de Styrie  (‘Poslovno združenje Styria’) en 1967 ou l’Union Commerciale pour la Viticulture et les Vins  (‘Poslovna skupnost za vinogradništvo in vinarstvo’) en 1975, elle deviendra l’Association des  Vins de Slovénie  (‘Vinska družba Slovenije’) en 2006  et perdure encore aujourd’hui.
Ce n’est qu’en 1970, que les premiers producteurs privés commencèrent à mettre leurs vins en bouteilles pour les commercialiser. En 1974, un système d’appellation d’origine contrôlée basé sur le modèle des grands pays viticoles européens fut établi. Il définissait les régions viticoles, les cépages autorisés et les rendements.
En 1991, après l’introduction du multipartisme et de la démocratie, la Slovénie  devient la première république à faire sécession de la Yougoslavie en devenant un État souverain indépendant. Cette libéralisation amena de nombreux producteurs indépendants à créer leur exploitation viticole. Une culture du vin se développa ainsi que des instituts de formation et en 1993, la Slovénie devient membre de l’OIV. En 1997, le pays se dota d’une législation compatible avec celle de l’Union Européenne dont elle devint membre le premier mai 2004.
​En 2006, la législation sur les vins est amendée pour être en complète conformité avec celle de l’Union Européenne, un nouveau district viticole est créé,  il regroupe six anciens districts : Radgona-Kapela, Ljutomer-Ormož, Maribor, Haloze, Srednje Slovenske Gorice, Šmarje-Virštanj.

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LIBRAIRIE NATIONALE DE LJUBLJANA. SOURCE: @par Elekhh – http://commons.wikimedia.org/

CLIMATS ET SOLS

La Slovénie est située sous des latitudes tempérées. Le climat est également influencé par la variété des reliefs et l’influence des Alpes et de la mer Adriatique. Dans le nord-est, le climat est continental avec une grande différence entre les températures d’hiver et d’été. Dans la région côtière, il existe un climat subméditerranéen. L’effet de la mer sur les températures est également visible dans la vallée de la Soča, tandis qu’un climat alpin sévère est présent dans les régions de haute montagne. Il existe une forte interaction entre ces trois systèmes climatiques dans la majeure partie du pays.
​Les précipitations, provenant souvent du golfe de Gênes varient également à travers le pays, avec plus de 3 500 mm (138 pouces) dans certaines régions occidentales et 800 mm (31 pouces) à Prekmurje. La neige est assez fréquente en hiver. Par rapport à l’Europe occidentale, la Slovénie n’est pas très venteuse, car elle se situe dans le sillage des Alpes. Les vitesses moyennes du vent sont inférieures à celles des plaines des pays voisins. Il y a trois vents d’importance régionale particulière pour la viticulture: la bora, le jugo et le foehn. Le jugo et la bora sont caractéristiques du littoral. Alors que le jugo est humide et chaud, la bora est généralement froide et en rafales. Le foehn est typique des régions alpines du nord de la Slovénie.

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CAVE SLOVÈNE DE KARST.SOURCE@By Peretz Partensky from San Francisco. https://commons.wikimedia.org/

Climat actuel

Climat futur

Brda, dans la partie la plus septentrionale de Primorje, présente des collines rocheuses basses avec des vignobles en terrasses. La vallée de la  Vipava  est une étendue verte luxuriante, avec des sols riches, qui chevauche la rivière Vipava sur son chemin vers l’Adriatique. Le Karst  est une zone relativement plate connue pour son sol calcaire rouge, riche en oxydes d’aluminium et de fer. Koper, la zone autour de la ville portuaire slovène éponyme, possède des vignobles plantés sur des plateaux surplombant la mer. Posavje repose à l’ombre des Alpes sur  des sols de grès qui nécessitent  une implantation  judicieuse des vignobles parmi les collines boisées et  vallonnées. À Dolenska, qui constitue la majeure partie de la région de Posavje, la topographie est composée de douces collines  avec des vignobles orientés sud. Là où les contreforts des Alpes cèdent la place aux plaines plus ouvertes, c’est la région de  Bela Krajina avec ses sols rocheux calcaires appelés karsts.
Nichée dans le coin nord-est de la Slovénie, à la frontière de l’Autriche, de la Hongrie et de la Croatie, Podravje faisait autrefois partie d’un ancien fond marin, et les sols qui en résultent sont riches en nutriments et en& minéraux qui les rendent idéaux pour la culture du raisin de cuve. Ljutomer-Ormoz est une petite zone de collines basses et fertiles qui produit des vins blancs fins. Prekmurske Gorice est une grande zone généralement plate où on cultive une grande partie des céréales de Slovénie ainsi que des raisins de cuve pour des vins d’entrée de gamme.

​RÉGIONS VITICOLES 

RÉGIONS VITICOLES: SLOVÉNIE (DESCRIPTION)SOURCE:  Jacqueline Uztarroz, collaboratrice de Terroirs du Monde Education terroirsdumondeeducation.com

​La viticulture se concentre dans trois grandes régions. Dans le sud-ouest du pays se trouve la région viticole de Primorje (Primorska) qui est la plus grande région de production (40 % des volumes) et qui comprend 4 districts viticoles officiels ,Slovenska Istra (Istrie Slovène), Karst, Vipavska Dolina (Vallée de Dolina) et  Goriška Brda  qui se situe dans le prolongement du Collio du Frioul mais sur des pentes parfois très accidentées,  contrairement à sa contrepartie italienne plate comme une galette. La région viticole de Posavje (Posavska) comprend les districts viticoles de Bizeljsko-Sremič, Dolenjska et Bela Krajina. La région Podravje (Podravska​) comprend les districts viticoles de Prekmurje et Štajerska.  Pour consulter les détails des régions viticoles, cliquez sur le lien suivant: RÉGIONS VITICOLES SLOVÉNIE

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GORISKA BRDA. SOURCE: Wikimedia Commons

CÉPAGES

Le grand cépage blanc est sans conteste la rebula (ribolla gialla en Italie) vinifiée souvent sur peaux soit en cuves, en foudres soit  en barriques ce qui peut lui donner une légère couleur ambrée. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, la fermentation malolactique est quasiment toujours effectuée et les vins sont aux antipodes de ceux que l’on trouve dans le Frioul à quelques encablures même si deux domaines (Gravener et Radikon) partagent des similarités en matière de vinification, qui est souvent sur le fil du rasoir compte tenu de l’absence  ou d’un usage parcimonieux de sulfites.
La malvazija Istrarka est l’autre cépage blanc qui donne des vins originaux et de de belle qualité.
Le cépage rouge phare est incontestablement le refosco qui produit le plus souvent des vins simples et unidimensionnels appelés teran. La région viticole du Podravje,  produit du laški rizling (welschriesling ou graševina, son nom officiel), du  renski rizling (weisser riesling) et du riesling allemand.
Le sud-est abrite la région viticole du Posavje et a longtemps été la région de production de vin en vrac, vendu sous le nom de Lotimer riesling principalement au Royaume-Uni,  avant que la région ne soit  rebaptisée  correctement sous le  nom Ljutomer et produise du  laški rizling (connu en  Autriche sous le nom as welschriesling). On y trouve du šipon (le fürmint hongrois)   mais les autres  cépages sont dominés par les cépages internationaux et on y trouve de jolis pinots noirs (modri pinot), des merlots et des cabernets sauvignons ainsi que du sauvignon blanc et du chardonnay et des pinots gris (sivi pinot). La Slovénie possède  quelques cépages autochtones, comme le zelen qui commence à produire des résultats  intéressants  Pour consulter le détail des cépages slovènes, cliquez sur le lien suivant: CÉPAGES SLOVÉNIE

LÉGISLATION ET RÉGLEMENTATION

La Slovénie, en tant que membre de l’Union Européenne est dotée d’une législation en conformité avec celles des autres pays européens. Le pays compte 3 IGP et 14  AOPs. Pour consulter le détail de la législation slovène, cliquez sur le lien suivant:  LÉGISLATION ET RÉGLEMENTATION SLOVÉNIE

NOS PARTENAIRES POUR LA SLOVÉNIE

Le commerce du vin en Slovénie en 2022.
En volume, la Slovénie est un importateur net de vin, principalement d’Italie et de France. Toutefois, en raison de prix à l’exportation beaucoup plus élevés, la Slovénie est un exportateur net de vin en valeur. Les principaux marchés d’exportation sont les États-Unis et l’Italie.